Introduite pour la première fois par Ray Algar en 2007, la « consommation collaborative » est un modèle économique où l’usage prévaut sur la propriété. En d’autres termes, il s’agit d’un bien ou d’un service qui aura vocation à être utilisé par plusieurs personnes dans le but d’optimiser son usage. La consommation collaborative représente un terrain économique vaste qui englobe de nombreux secteurs. Certaines personnes contribuent même à cette économie sans le savoir !

La pratique du covoiturage s’est développée de manière conséquente et représente un mode de consommation collaborative permettant à plusieurs personnes d’utiliser un véhicule pour voyager. Ses avantages ? Rentabiliser la consommation d’essence en voyageant à plusieurs, mais aussi réduire les émissions de CO2 en utilisant un seul véhicule pour un même trajet. De nombreuses solutions de covoiturages existent (Blablacar.fr étant l’une des plus connues) et mettent en contact les particuliers qui souhaitent voyager.Côté immobilier, le site Couchsurfing met en relation les particuliers cherchant un hébergement et ceux pouvant les accueillir. Le même procédé existe de manière payante avec Airbnb, en permettant de louer temporairement un bien immobilier. Très pratique et peu onéreux, ce mode de consommation permet de s’offrir à prix réduit un logement lorsque l’on souhaite par exemple partir en vacances. Il en est de même pour le partage d’espaces de travail, entre plusieurs entreprise.

En ce qui concerne la vente et l’échange de biens, le site internet Leboncoin est également un acteur économique incontournable de la consommation collaborative. De plus en plus de personnes cherchent à donner une seconde vie à leurs objets et choisissent de les vendre ou de les échanger sur Leboncoin.

 

Le site agit en tant que portail de mise en relation entre l’offre et la demande et permet de trouver son bonheur de manière rapide et directe, en laissant l’acheteur et le vendeur s’organiser à leur guise.

Mentionné pour la première fois en 2005 à San Francisco (à l’occasion de la journée mondiale de l’environnement), le terme « locavore » a été introduit par Jessica Prentice, cuisinière et écrivaine américaine. Elle proposait alors aux résidents locaux de manger des aliments produits ou issus d’une agriculture locale dans un rayon de 160 km maximum : le locavorisme était né.À une époque où la mondialisation incite les consommateurs à acheter des fruits et légumes produits à l’autre bout du monde, le locavorisme prône un retour à une consommation locale. Cette consommation se fait auprès d’acteurs proches de son domicile tels que des agriculteurs, des épiceries ou des points de cueillette par exemple. Le mouvement locavore met en avant la qualité des produits locaux, dont la consommation serait plus saine que les produits du secteur industriel.

Vous vous êtes déjà demandé comment trouver la meilleure boulangerie de votre quartier ? Quel coiffeur pourra vous faire la coupe de cheveux de vos rêves ? Ou encore, quel médecin consulter ? Le site www.justacote.com peut répondre à toutes ces demandes. Il s’inscrit de manière directe dans la démarche du locavorisme en permettant de trouver des bons plans tout près de chez soi. Justacoté.com référence dans son annuaire les commerces et les bonnes adresses partagés par les utilisateurs du site et vous permet de faire les meilleurs choix possible afin de ne pas être déçu.Particulièrement utile et organisé autour d’une communauté de personnes s’entraidant les unes les autres, le site Justacoté.com constitue l’une des nombreuses réponses apportées à celles et ceux qui souhaitent améliorer leur manière de consommer.